Imprimé chez MANAO COMMUNICATION sur presse numérique du numéro printemps 2022 – Vins & Gastronomie –
Magazine hédoniste, véritable référence pour tout amateur de bon vins et de bonnes tables, vous propose 100 pages pleines de saveurs !
Cette Imprimerie innovante, éco Responsable, accompagne les esprits créatifs dans la réalisation de leurs projets
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Imprimé chez MANAO COMMUNICATION sur presse numérique du numéro printemps 2022 – Vins & Gastronomie –
Magazine hédoniste, véritable référence pour tout amateur de bon vins et de bonnes tables, vous propose 100 pages pleines de saveurs !
Boites et fond de boites découpées à la forme, imprimées sur un Invercote Creato 300 gr avec un pelliculage mat pour un rendu sublime à l’image de cette institution bordelaise unique en son genre !
Ces boites seront remplies de canelés et offertes pour le plus grand plaisir de leurs clients.
Ancienne longère du XVIIIè, métamorphosée en hôtel et restaurant par Jean Nouvel en 1989, l’Hôtel Le Saint-James Bouliac est équipé d’une piscine atypique avec sauna.
Sa table est étoilée depuis des années et son école de cuisine propose des cours ouverts à tous et à toutes !
Alors n’hésitez pas à découvrir et profiter de ce magnifique endroit sur les hauteurs de Bordeaux, vous ne serez pas déçu…et en plus ils produisent leur propre vin !!!
Après les papiers composés à 10 et 50 % de cannabis sativa, le fabricant allemand Gmund lance une troisième référence : le Gmund Hanf, un substrat 100 % en chanvre européen.
Le papier Gmund Hanf présente aussi de nombreux avantages lors de sa fabrication. Pour une même surface de plantation, le fabricant peut réaliser quatre à cinq fois plus de papier qu’un papier à base de bois. De plus, le chanvre n’épuiserait pas le sol, et pourrait ainsi être replanté immédiatement après la récolte.
Les fibres de chanvre étant plus longues et stables, la pâte de chanvre offre également une résistance à la traction, à la déchirure et à l’humidité plus élevée qu’avec de la pâte de bois. Les fibres de chanvre sont naturellement très claires et nécessitent donc moins de blanchiment. Et comme son homologue en cellulose, ce papier est recyclable plusieurs fois.
Gmund souligne, sur son site internet, que le chanvre était un matériau autrefois utilisé pour fabriquer du papier : jusqu’en 1883, 75 à 90 % du papier produit dans le monde était composé de fibres de chanvre. La Bible de Gutenberg a elle aussi été imprimée sur papier de chanvre en 1455. « Elle se serait désintégrée depuis longtemps si elle avait été imprimée sur papier à base de bois » assure le fabricant.
« Les fibres longues, qui représentent un défi pour la production de papier, rendent le nouveau substrat à la fois ferme dans sa structure et merveilleusement doux au toucher » décrit le papetier.
Gmund Hanf se décline en grammage de 120 à 320 g/m2 et est compatible avec l’offset, la sérigraphie, la dorure à chaud, le gaufrage, la typographie et la découpe. Il convient aussi bien pour les brochures, les emballages que les cartes de vœux, mais ne se fume pas, prévient le papetier !
https://www.graphiline.com
Encore trois exemples de lancements récents illustrent la réduction des plastiques dans les emballages avec une substitution totale ou partielle par du papier : la salade Les Crudettes, les bonbons Krema et le jambon Madrange.
Tous les rayons vont-ils migrer vers le papier ? On en est évidemment encore loin et le plastique démontre toujours des atouts inégalés en matière de conservation des produits, notamment frais. Mais force est de constater que les lancements d’emballages recyclables dans la filière papiers-cartons s’accélère. Pour certaines marques, il s’agit de lancer une expérimentation, de tester la nouveauté sur une frange de leur assortiment plutôt premium. Pour d’autres, la substitution du plastique par le papier devient une stratégie déployée sur l’ensemble de l’offre. En la matière, les degrés de maturité sont variables. Ils dépendent aussi de la capacité du papier à répondre à toutes les exigences techniques (propriétés mécaniques, garanties sanitaires, etc.), marketing et de coûts …
En guise d’exemples, voici trois nouveaux lancements.
Tous les Krema en sachets recyclables d’ici 2025
Les bonbons Krema Goûts fruits rouges et Goûts fruits jaunes sont lancés en sachets en papier recyclables, issus d’une année de recherche et développement. Ces deux références, qui comme les autres bonbons Krema, avaient fait l’objet d’une reformulation de recette pour gagner en naturalité, combinent démarche RSE et clean labelling. « Les enjeux avec ce nouvel emballage étaient nombreux, notamment d’un point de vue de maîtrise organoleptique et de conservation, avance Pascale Infante, directrice marketing de Krema, marque de Carambar & Co. Nos tendres bonbons ont une telle signature qu’il était essentiel d’en préserver le goût et la texture. Un premier exercice réussi avec l’amélioration de la recette et désormais avec ce sachet recyclable que nous projetons de proposer sur 100 % de nos produits d’ici 2025. » D’après une enquête menée par la marque cet été, 63 % des enfants trouvent essentiel que les emballages soient recyclables et 85 % des consommateurs déclarent qu’un sachet recyclable influerait leur acte d’achat au rayon bonbons.
Madrange généralise le carton
En 2020, Madrange a développé pour sa gamme filière (Label Rouge et Bio) des emballages recyclables à 85%, contenant 70 % de plastique en moins. Suite au succès rencontré, la marque étend ce nouveau packaging à toute sa gamme de jambons libre-service dès novembre prochain. Le film inférieur à 80 % en papier est blanc pour la gamme Mon Jambon Blanc et couleur kraft pour les jambons supérieurs et aux petits légumes. « Des modifications de ligne et des investissements spécifiques ont été réalisés sur le site de Feytiat (87) où sont conditionnés les jambons Madrange pour répondre aux exigences techniques de ce nouveau type d’emballages », indique la marque.
Six références de salades Les Crudettes en sachets à 95 % en papier
Les Crudettes, marque du pôle végétal du groupe LSDH, a lancé le 1er septembre dernier un sachet de salades prêtes à l’emploi constitué à 95 % de papier issu de bois de forêts gérées durablement (FSC). Recyclable dans la filière papiers-cartons, il résiste à l’humidité et préserve les qualités organoleptiques des salades. Il se décline sur six références de jeunes pousses et de mâche. Son développement s’inscrit dans la continuité des travaux du programme (Re)Set packaging qui avait donné lieu au lancement d’un prototype en 2020 testé chez Carrefour. A 100 % en papier, ce dernier avait recours au film de la gamme Earth Packaging de Sirane. Il semblerait que le projet ait évolué puisque ce lancement fait appel à un autre fournisseur, Mondi, qui propose pour sa part un film extrudé dont la machinabilité a été testée en partenariat avec le fournisseur d’ensacheuses Ilapak.
https://www.processalimentaire.com/emballage/le-papier-se-decline-sur-tous-les-marches?utm_source=sendinblue&utm_campaign=ComUniic&utm_medium=email
Le cahier des charges, en accord avec les valeurs écologiques défendues par l’agence de communication en charge du projet, demandait à dessiner un logo déclinable en fonction du support. Ainsi, une version claire est destinée aux impressions sur papier de façon à limiter la consommation d’encre. Chacune des couleurs composant la charte graphique ne dépasse pas les 100 % de taux d’encrage. Une seconde version, plus foncée, est réservée aux écrans pour économiser la batterie des smartphones.
La police de caractère a elle aussi été conçue de façon à minimiser les ressources nécessaires en papier (-6 %), en encre (-17,23 %) et en volume de données (-82 % par rapport aux fichiers de polices standards).
https://www.graphiline.com
Récemment, le groupe de chimie français Arkema a remporté le premier prix de l’Organic Electronics Association du meilleur démonstrateur de projet collaboratif. Avec 10 partenaires, dont le CEA et le CNRS, il a développé une solution qui utilise la technologie de l’électronique organique imprimée pour concevoir des étiquettes intelligentes, capables par exemple de détecter les chocs. A la clé, notamment, des bénéfices écologiques et économiques.
Pour rappel, l’électronique organique imprimée concerne « l’ensemble des technologies qui consistent à développer une technologie complémentaire de l’électronique classique et basée sur des matériaux organiques. Cela à la différence de l’électronique classique qui est basée sur des matériaux semi-conducteurs type silicium. Dans le cas de l’électronique organique imprimée, les devices sont fabriquées par des technologies dérivées des technologies d’impression », résume Fabrice Domingues Dos Santos, CEO de Piezotech, entité du groupe Arkema qui développe des matériaux pour l’électronique organique et imprimée.
« L’électronique classique est très couteuse et précise. En général, les devices sont fabriquées par des technologies où on enlève, par gravure ou par lithographie, les différentes couches. Dans le cas de l’électronique organique, on va prendre des substrats organiques- plastique ou dans notre projet du papier- et puis venir y déposer par des techniques d’impression comme la sérigraphie, l’offset ou encore l’injection, des couches successives avec des dessins pour fabriquer des devices fonctionnels avec des technologie particulières », poursuit ce dernier.
La solution développée ici a aussi recours à des matériaux piézoélectriques, fabriqués à base de polymère et pas de céramique comme cela se fait habituellement. « Il s’agit de matériaux qui génèrent de l’électricité quand si on les déforme, et qui, quand on leur met de l’électricité se déforment », développe Fabrice Domingues Dos Santos.
Deux cas d’usage ont déjà été développés par Arkema: une étiquette intelligente qui comprend un capteur de détection de choc et une étiquette anti-contrefaçon intelligente. Les informations captées par les deux composants peuvent être lues par une application mobile.
Pour notamment en savoir plus sur le fonctionnement, retrouvez l’interview complète de Fabrice Domingues Dos Santos, CEO de Piezotech, entité du groupe Arkema qui développe des matériaux pour l’électronique organique et imprimée.
En s’inspirant des concombres de mer, des chercheurs allemands ont créé un papier transparent étonnant. Ce matériau, rigide et robuste, s’assouplit sous l’effet d’un courant électrique, un processus entièrement réversible en coupant simplement l’alimentation.
Le monde du vivant reste une source d’inspiration pour les chercheurs, et cette fois ce sont les concombres de mer, capables de durcir leur peau très élastique, qui ont conduit à une nouvelle invention. Des chercheurs des universités Johannes-Gutenberg de Mayence et Fribourg-en-Brisgau, en Allemagne, ont ainsi créé un papier transparent et rigide, qui s’assouplit lorsqu’il est soumis à un courant électrique.
Le matériau est composé de nanofibres de cellulose extraites des parois cellulaires d’arbres, encore plus fines que les microfibres du papier standard. Ils obtiennent ainsi un « nano papier » qui ressemble à du verre et qui pourra être utilisé comme matériau de construction grâce à ses propriétés physiques proches de celles des alliages en aluminium.
En y appliquant un courant électrique, le matériau chauffe et les nœuds de réticulation sont cassés, brisant les liaisons entre les fibres, et le rendant plus mou. Plus le courant électrique est élevé, plus il s’assouplit. Le processus est entièrement réversible. Pour rendre le papier de nouveau rigide, il suffit de couper le courant.
Ce nouveau papier transparent pourrait être utilisé comme matériau amortissant, dont les caractéristiques pourront être adaptées à la charge physique subie. Le prototype actuel nécessite une source électrique externe, mais les chercheurs souhaiteraient y intégrer son propre système de stockage d’énergie. Ainsi, le matériau pourrait se transformer automatiquement en amortisseur lorsqu’il est surchargé.
Les purificateurs d’air sont les oubliés de la lutte contre la Covid-19 en France alors que de très nombreuses études prouvent que l’air est un vecteur important de transmission du virus.
Nos purificateurs d’air sont des dispositifs efficaces pour nous aider à sortir de cette crise sanitaire en complétant les mesures déjà existantes. Tous les lieux plus ou moins clos recevant du public devraient en être équipés : administrations, cantines, salles de réunion, salles formation, salles d’attente, bureaux, boutiques, musées, bars, salles de sports, etc…la liste est longue !
Notre société MANAO (06) propose un système, conçu et fabriqué dans le Tyrol Sud, qui est innovant, qui fonctionne sans danger en présence du public et qui possède un design moderne et personnalisable. Son efficacité à plus de 99,9% a été testée et validée par un laboratoire indépendant européen.
Contactez-nous pour en savoir plus : MANAO – 04 93 69 21 21 –
Le print subit de plein fouet la transition numérique : multimédia, interactivité, contenus dynamiques, temps-réel, hyper-personnalisation, parcours cross-canal… sont autant de caractéristiques qui font défaut au papier. Les consommateurs intègrent toujours plus les outils numériques dans leur expérience des marques. Toutefois, le papier garde une place de choix puisque les catalogues et autres plaquettes sont toujours plébiscités pour leur maniabilité et le confort de lecture. Choisir d’appliquer la réalité augmentée sur un support imprimé, c’est mettre en place un dispositif destiné à valoriser l’existence de ces supports physiques et tirer parti des avantages du numérique.